vendredi 5 décembre 2008

Lettre au père "Noyel"

Plus que 19 jours avant Noël...
Il est temps d'écrire au père "Noyel" !!!
Ma lettre est prête.

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Je sais que tu existes encore, malgré tous les mentiris que l'on raconte sur toi...

Je sais aussi que les temps sont durs... pour toi, ta femme, tes enfants, tes lutins et tes rennes...

J'ai appris:

  • que tu ne peux pas encore prendre ta retraite cette année;

  • que tu dois réduire d'un tiers le nombre de tes lutins à cause du manque de travail occasionné par la récession;

  • que ta femme ne peut plus travailler puisqu'elle doit s'occuper de vos enfants, la maternouille étant fermée;

  • que tes enfants ont toutes sortes d'allergies tant le ciel est pollué...l'un d'eux, même, est tombé dans le trou de la couche d'ozone...

  • que tes rennes ne trouvent plus d'herbe à brouter sans OGM;

  • que ton moral est au plus bas à cause de tout ce qui se passe sur Terre.

Alors, je ne demande rien cette année, je ferai l'impasse...

Je voudrais juste que tu essaies de me dénicher, dans un coin de ton atelier, un truc-machin-bidule qui s'appelle « bôfutur » et dont j'aimerais connaître l'odeur.

Courage à toi... On est tous, avec toi, dans le même traîneau...
Je t'embrasse.

(J'espère qu'il me lira...)

1 commentaire:

  1. à titre indicatif, des scientifiques ont montré que si le père noel existait, en tenant compte des délais pour livrer dans la nuit (même avec les différents décalages horaires), le seul moyens de le faire serait d'atteindre une vitesse telle qu'il formerais une masse critique, et que la terre autour de laquelle il tourne imploserait (il n'y a que pour superman ou ca permet de remonter le temps sans même se croiser sois même pour le simple plaisir déviter de casser une voiture !). Il résulterait donc de l'activité du père noel la fin du monde, aussi simple que ca !

    voilà, c'était juste pour ca, je vais maintenant retourner à mes occupations, bien qu'il y en ais moins maintenant que la semaine interspé est finie ici et qu'il n'y a plus ni poule, ni bataille de boule d'eau, ni fort à prendre, ni guerre à coup de tête de poisson pas frais ! La vie est triste quand même !

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